Et si la transformation devenait une seconde nature pour l'entreprise ?

« Il faut voir la transformation comme une habitude salutaire à cultiver. Lorsque la transformation devient une seconde nature, elle ne pèse plus aux équipes, alors que les plans de transformation successifs ou concomitants ont épuisé des cohortes de collaborateurs ! 

À l’inverse, l’entreprise transformative abandonne la méthode projet circonscrite à des domaines précis pour adopter une vue intégrée et une organisation agile. Elle obtient des résultats durables en favorisant l’innovation, le développement continu. C’est aussi une opportunité de remettre du sens dans le travail. »

72% des salariés en France se sentent prêts à s’adapter à de nouvelles méthodes de travail
Source : PwC, étude Hopes and Fears 2024

L’enjeu : comment adopter une approche transformative culturellement ancrée au sein de l’organisation ? Comment développer la collaboration pour créer des ponts et casser les silos, faciliter l’appropriation de nouvelles technologies, encourager l’innovation et la prise de risque ?

« Si la transformation est le moyen, la réinvention est le but. Plus précisément, la réinvention des modèles d’affaires, dans l’objectif de renforcer la résilience de l'entreprise, sa performance globale et sa pertinence dans un monde en constante mutation.

De nouvelles manières de créer et de préserver de la valeur doivent être mises en place. Il s’agit de choisir le modèle d’affaires le plus adapté parmi une grande diversité de possibilités. Certains modèles existent, d’autres sont à inventer. »

63 % des dirigeants français placent la technologie comme élément clé de leur transformation à trois ans
Source : PwC, CEO Survey 2024

L’enjeu : la manière dont une entreprise se réinvente peut prendre de multiples formes : comment choisir la meilleure ? Comment ajuster son modèle opérationnel et ses structures organisationnelles ? Vers quels nouveaux outils et modèles de données se tourner ? Quelles stratégies d’investissements développer ?

« L’adjectif “transformatif” a deux significations : qui a la capacité latente d’être transformé/de se transformer ; et qui a la puissance de transformer. En se transformant, l’entreprise d’une part fait évoluer son modèle d’affaires, d'autre part peut exercer une influence sur l’environnement dans lequel elle opère. 

Par exemple, un nouveau modèle d’affaires peut créer davantage de valeur pour des parties prenantes externes, comme des fournisseurs, ou rendre les règles du jeu plus durables au sein d’un écosystème. »

42% des salariés en France ne comprennent pas pourquoi les choses doivent changer
Source : PwC, étude Hopes and Fears 2024

L’enjeu : il faut s'assurer de maîtriser les risques liés à la réinvention du modèle d’affaires. Par exemple, quand une entreprise s’engage dans une transformation de grande ampleur, elle doit continuer à inspirer confiance à toutes ses parties prenantes. Comment doit-elle communiquer ? De quoi doit-elle s’assurer pour ne pas mettre à risque la confiance de ses collaborateurs et candidats, de ses clients et partenaires, de ses financeurs et investisseurs ?